le monde de jassume

voici tout les jassumiens qui étaient présents le 28 octobre 2006 merci encore a eux

Ecoute mon coeur

Entends-tu ce cri de détresse
Qui hurle, caché de l’ intérieur
Dissimulant terrible douleur
Créant d’ennuyante tristesses.
Ce lourd hurlement de souffrance
Vibrant mon regard vide de sens.
Étouffant l’âme de ce silence,
M’affaiblissant de sa présence,
M’inondant de tous mes remords,
Noyant ma soif, mes rêves, mes voeux,
Me poignardant de son claymore
M’enterrant soûl mort sous les cieux.
Regarde-moi , garde battu,
Délivre-moi de cet écho,
Fait fuir mon cœur de ce chaos
En m’libérant de cette statue.

"je t'en suplie apelle moi :( ..."

Tous simplement au bout du rouleau!
Quant vas t’il se baisser, le rideau?
Je cherche par tout les moyens a m’en sortir,
je veux simplement guérir.
Pourquoi ce sacrifice?
Pour qui les bénéfices?
Je ne sais meme plus où j’en suis,
fait trop sombre au fond de mon puit.
Je ne sais plus quoi faire,
fait trop froid dans mon ministère.
C’est quant je me pose ces questions
que je frole la dépression.
Désolé je l’exprime avec mes mots,
j’suis simplement au bout du rouleau!

Tic tac défilent les secondes,
Dans le silence de mes jours,
Mon coeur parcours le monde,
Seul , écarté de l’Amour... 

Ou est passée cette présence,
Qui relance la joie du coeur,
Pourquoi cette lourde absence,
Ou est donc mon bonheur?...

Mon ange s’est-il perdus,
Peut être derrière les nuages,
Ses ailes je ne vois plus,
Signe d’un mauvais présage...

Mon coeur seul est refermé,
Au bord des larmes de peines,
Rien ne l’empêche de pleurer,
Par manque d’un je t’aime...

Une âme de haine imbibée,
Pour sa vie fade, sa solitude, 
Qui se meurt désespérée,
De l’Amour; sans certitudes...

Les doux rayons de bonheur,
ne me sont pas réservés, 
Sur ma tête l’auréole d’un coeur,
Las de virvre sans être aimer...

De l’âme soeur je suis proscrit, 
Condamné à une vie d’attente,
Ou rien n’égaye ma triste vie,
A part une mort latente...

Mes battements se ralentissent,
Et s’enferment dans le silence,
Attendant le moment propice,
Ou sera reine ma souffrance,
Devant la mort admiratrice,
Je chanterais l’allégeance,
A l’Amour, cette cicatrice,
Qui ne m’accorde sa clémence...

Perdu dans le noir
une main tendue au désespoir

tu as attiré mon regard